Bonjour, je m’appelle Frank et j’aimerais vous raconter l’histoire de mon premier plan à trois. J’avais dix-huit ans, c’était il y a plus de dix ans. Je vais d’abord présenter les personnages principaux, il y a bien sûr moi, Frank, un jeune homme de 19 ans. Puis il y a mon meilleur ami de l’époque, Pascal, qui a un an de plus que moi, et enfin Lucie, 18 ans à l’époque. On avait grandi tous les trois ensemble, on jouait à cache-cache, ce genre de choses. En fait, quand j’avais environ dix ans, j’avais le béguin pour Lucie, elle avait peut-être le béguin pour moi aussi, mais il ne s’est jamais rien passé. Pascal et moi nous entendions de mieux en mieux et sommes devenus les meilleurs amis. Tu sais, on a bu notre première ligne de Coca ensemble, on a partagé des histoires sur les filles, etc.
Depuis six mois environ, Pascal et Lucie sortaient ensemble. Vous savez comment ça se passe, je ne l’ai pas beaucoup vu pendant cette période. Mais je comprenais, j’avais été moi-même fou de joie, alors je pouvais comprendre. Et en fait, le fait qu’ils sortent ensemble n’était pas une si mauvaise chose, car les jupes de Lucie étaient de plus en plus courtes. Et avec les jambes qu’elle avait, ce n’était pas une punition pour nous les gars. Bien sûr, d’après les histoires de Pascal, je savais qu’ils étaient de plus en plus actives sexuellement.
Un jour, je crois que c’était en mai, Pascal et moi sommes allés passer une journée en ville. Nous avons passé un bon moment, bu quelques bières, visité quelques sites et, bien sûr, sur le chemin du retour vers la gare, nous avons traversé le quartier rouge.
Lorsque vous vous promenez dans le quartier le plus chaud de la ville, vous voyez beaucoup de femmes pour lesquelles vous ne pouvez pas imaginer que quelqu’un paie de l’argent pour passer du temps avec elles. Mais nous sommes tombés sur une allée où il y avait des femmes jeunes et très attirantes. Inutile de dire que nous étions tentés, Pascal un peu plus que moi mais c’est parce que j’étais une poule mouillée et que je le suis toujours…
Donc, quand nous sommes sortis du quartier rouge, nous étions sérieusement excités… Et la conversation ne portait que sur le sexe. Alors que nous attendions le train, Pascal a mentionné que Lucie pourrait avoir envie d’un plan à trois. Sans hésiter, j’ai relevé le défi, sans m’attendre à ce qu’il en sorte quoi que ce soit.
Quoi qu’il en soit, nous nous sommes dit au revoir chez Pascal et je suis allé rendre visite à mes parents (je vivais désormais seul). Vers huit heures du soir, on a sonné à la porte, j’ai dit à mes parents : “J’y vais” et à ma grande surprise, Lucie était là.
J’ai parlé avec Pascal, m’a-t-elle dit, et il m’a parlé de votre conversation. Je suis restée sans voix, et j’aimerais vous prendre au mot…
Vous pouvez imaginer mon choc et mon excitation en même temps, bien sûr, ce qui en a fait une expérience vraiment mémorable pour moi, c’est que juste à ce moment-là, je pouvais entendre ma mère demander : “Frank, qui est-ce à la porte ?”; j’ai donc dit à Lucie que j’allais passer chez Pascal et que nous discuterions du reste.
Environ 15 minutes après avoir été choqué par Lucie, j’ai frappé à la porte arrière de la maison des parents de Pascal, j’ai pris un air aussi normal que possible et je suis monté dans la chambre de Pascal.
Quand je suis entré, ils étaient tous les deux assis sur son lit, avec un large sourire. Après les avoir grondés calmement pour m’avoir choqué de la sorte, je leur ai demandé s’ils étaient sérieux. Ils m’ont dit qu’ils l’étaient, et Lucie a dit qu’elle ne pouvait pas imaginer un meilleur candidat pour son premier plan à trois, ce qui a attiré mon attention.
Le marché était le suivant : le lendemain soir, Pascal et Lucie me rendraient visite dans la maison que je gardais. Nous aurions l’endroit pour nous seuls, et peu de chance que quelqu’un nous dérange.
Le jour suivant s’écoula très lentement, mais finalement la soirée approcha. Pour briser la glace, j’avais déniché un bon film porno que j’avais planqué quelque part, allumé quelques bougies et attendu anxieusement qu’ils arrivent. Vers huit heures, j’ai entendu Pascal garer sa voiture près de la route. Pour arriver à la maison, ils devaient marcher sur un chemin à travers quelques arbres, environ 50 mètres.
Je suis sorti pour les accueillir, et je les ai vus s’approcher dans l’obscurité, Lucie quelques mètres devant Pascal, elle est grande, je pense un mètre quatre-vingt et elle portait des talons hauts, et une jupe très courte. Je l’ai embrassée sur la joue et les ai invités à entrer.
Vous pouviez sentir que nous étions tous un peu tendus et nerveux. La première chose à faire a donc été de nous préparer un verre. Après quelques minutes, nous avons commencé à nous détendre, Lucie était magnifique. Ce n’est que lorsque j’ai regardé les deux assiss en face de moi sur le canapé que j’ai réalisé qu’un plan à trois impliquerait également Pascal !
La main de Lucie montait et descendait sur la jambe de Pascal. D’un air taquin et encore un peu timide, elle m’a regardé. “Qu’est-ce que c’est ? Elle a demandé en faisant un geste vers la cassette vidéo sur la table. C’est un film porno, Pascal a suggéré que ça pourrait briser la glace, j’ai dit, mets-la alors !
J’ai inséré la cassette dans le magnétoscope et j’ai appuyé sur le bouton de lecture. Le film a commencé à mi-chemin, j’avais oublié de le rembobiner. Pensant qu’elle n’était peut-être pas d’humeur pour ce genre d’action, j’ai attrapé la télécommande, prêt à rembobiner quand elle m’a arrêté. ‘ Non, ne rembobine pas, ça a l’air intéressant’.
Sur l’écran, la fille suçait deux gars à la fois, et regardait la caméra de manière séduisante. Nous sommes tous devenus silencieux, je pouvais me sentir devenir plus dur et en regardant Pascal, j’ai vu qu’il avait la même réaction.
Les yeux de Lucie étaient rivés sur l’écran. Pascal était en train de déboutonner son pantalon, se libérant ainsi. J’ai regardé, pour la première fois, un autre homme en érection en chair et en os. Prenant exemple sur lui, j’ai également déboutonné mon pantalon, et me suis pris en main.
Lucie caressait Pascal d’une main tout en continuant à regarder l’écran, puis elle s’est tournée vers moi, laissant son regard aller de mes yeux vers ma queue, puis remonter vers mes yeux. On pouvait presque sentir la tension, c’était le jour J, le moment où toute la situation pouvait basculer. Elle a regardé de nouveau l’écran et a dit :
“On va dans un endroit plus confortable ?
Nous nous sommes tous levés et avons commencé à marcher vers l’escalier, en chemin j’ai éteint le magnétoscope. Pascal et Lucie s’étaient embrassés. Lucie a été la première à monter les escaliers, Pascal et moi nous sommes souriés, tous deux ayant l’air assez ridicules, nos bites hors de nos pantalons. En haut, à notre gauche, se trouvait la chambre, la salle de bain avec jacuzzi était attenante. Lucie et Pascal ont regardé autour d’eux, admirant le jacuzzi avec une vue sur le jardin.
Je me suis dirigé vers la cheminée à gaz et l’ai allumée. J’ai suivi Pascal et Lucie dans la salle de bain, en leur disant : “Nous pourrions prendre un bain plus tard, si vous voulez”.
Nous sommes retournés ensemble dans la chambre, la cheminée répandait une chaleur confortable dans la pièce. Lucie a embrassé Pascal.
Avant, Lucie nous avait dit qu’elle voulait avoir le contrôle. Elle s’est retournée, les lèvres encore un peu ouvertes, et m’a embrassé sur la bouche, nos langues se touchant pour la première fois. Puis ses lèvres ont à nouveau quitté les miennes et elle s’est retournée vers son Pascal. Je suis resté là, derrière elle, et j’ai laissé mes mains descendre le long de son dos pour se poser sur ses hanches. Je l’ai doucement serrée.
Je pense que je pourrais m’habituer à ça”, a-t-elle dit en s’asseyant sur le lit. “Pourquoi ne pas vous déshabiller tous les deux ? Un sourire malicieux est apparu sur ses lèvres.
Pascal et moi avons ri un peu timidement, en nous regardant l’un l’autre, en regardant Lucie étalée sur le lit, en nous retournant l’un l’autre et en pensant “Mais qu’est-ce que c’est que ça ?”. Nous nous sommes tous les deux déshabillés, mais pas à la manière d’une strip-teaseuse, nous étions encore un peu trop verts pour ça.
Nous étions là, pour la première fois, nus devant un autre homme. Pascal et moi avions à peu près la même taille, il était un peu plus mince, maigre. J’étais un peu plus trapu, large d’épaules. En regardant vers le bas, j’ai remarqué que j’avais un peu plus de poils sur le corps, Pascal avait quelques poils épars par endroits. En descendant plus bas, la vérification finale a confirmé que nous étions tous les deux de la même taille. (on pouvait presque entendre un soupir de soulagement audible…)
Lucie nous prenait en charge, nous regardait. Dans ses yeux, on pouvait lire une étincelle de convoitise. Sa jupe était un peu remontée et je pouvais voir qu’elle ne portait pas de culotte. Pascal et moi nous sommes dirigés vers le lit à l’unisson, tandis que Lucie se tenait droite sur le bord du lit.
Nous nous sommes placés de part et d’autre d’elle, face à face, à un demi-mètre de distance. Ses mains ont remonté l’intérieur de nos jambes, jusqu’à ce que nous puissions sentir ses mains toucher nos couilles. Elle a levé les yeux vers nous, toujours avec un soupçon de timidité, puis elle nous a regardés tous les deux. Elle a déplacé ses mains de nos couilles vers le haut jusqu’à ce qu’elle nous tienne dans ses mains, nous caressant doucement.
Puis elle a pris la tête de la bite de Pascal dans sa bouche. Il a fermé les yeux, tandis que je continuais à la regarder l’engloutir lentement. Ses yeux étaient fermés quand elle l’a pris plus profondément. En sortant, elle a ouvert les yeux et m’a regardé.
Sans me perdre de vue une seconde, elle s’est retournée et m’a pris dans sa bouche. C’était chaud et humide et cela, combiné à la tension de la situation, m’a rendu incroyablement dur. J’ai rouvert les yeux pour voir Pascal me sourire, sa main toujours sur l’arrière de sa tête. Ses lèvres se sont séparées de moi et, lorsqu’elle s’est éloignée de moi, j’ai pu voir un petit fil clair de précum entre sa langue et le bout de ma queue. Il a disparu quand elle s’est retournée pour prendre Pascal dans sa bouche à nouveau.
Elle a serré un peu sa bite, son pouce allant de la base vers la tête. Une goutte claire est apparue. En gardant ses lèvres rapprochées, elle les a mises juste au-dessus et l’a aspirée.
C’était tellement excitant. Pascal a gémi, il aimait ça autant que moi. Puis ses lèvres se sont à nouveau approchées de moi et j’ai senti son pouce faire sortir une autre goutte claire de mon corps, sa langue s’est tendue lorsque la goutte est apparue, ses yeux se sont fixés sur les miens, tandis qu’elle léchait doucement le bout. J’étais en feu, si incroyablement excité.
“C’est tellement excitant” a dit Pascal d’une voix rauque. Lucie s’est levée et l’a embrassé. Puis elle s’est assise à nouveau, nous rapprochant tous les deux, les pointes de nos bites se touchant presque.
D’un air taquin, elle a léché le dessous, allant de l’un à l’autre. Parfois, elle entourait nos deux bites de ses lèvres. Cela allait bien plus loin que ce que j’avais imaginé, mais c’était incroyablement chaud.
Sans qu’aucun mot ne soit prononcé, Pascal et moi avons décidé en même temps d’aider Lucie à se relever. Alors qu’elle se tournait vers Pascal, nous avons commencé à la déshabiller, d’abord son haut, puis je l’ai aidée à enlever sa jupe, tandis qu’elle embrassait passionnément Pascal. Je suppose que j’aurais pu me sentir à l’écart, mais ce n’était pas le cas.
Elle portait encore des talons et un soutien-gorge, il n’y avait pas de culotte sous la jupe. J’ai déplacé mes mains à l’intérieur de ses jambes en me levant. Elle gémissait en embrassant Pascal. A ma grande surprise, elle était complètement rasée, la première femme complètement rasée que je rencontrais.
Je pouvais sentir qu’elle était humide, mes doigts glissaient facilement en elle et hors d’elle. Son clito n’était pas facile à trouver, mais quand j’ai trouvé l’endroit, elle a appuyé sur ma main. Je crois qu’elle a joui sur-le-champ en embrassant Pascal et en se faisant doigter par moi. Elle devait être plus que prête. Incroyablement, quand elle a joui, j’ai senti sa mouillure augmenter.
Nous nous sommes allongés tous les trois sur le lit, Pascal et moi de chaque côté de Lucie. Elle avait besoin de temps pour récupérer. Nous étions tous les deux en train de la caresser, de l’embrasser, de la masser. Elle n’avait pas de très gros seins, mais elle avait des tétons incroyablement sexy, assez gros qui réagissaient instantanément au toucher.
Au bout d’un moment, j’ai commencé à embrasser et à grignoter son corps. Quand j’ai atteint son nombril, Pascal s’était mis à genoux près de sa tête. Elle tenait sa queue dans sa main et léchait ses couilles, alternant celles qu’elle prenait dans sa bouche. Lorsque je suis descendu plus bas, elle a écarté ses jambes pour moi. J’ai embrassé jusqu’à ses genoux, puis j’ai commencé à remonter le long de l’intérieur de ses cuisses jusqu’à ce que je l’aie devant moi. Ses lèvres étaient gonflées, bouffies et complètement chauves.
Je pouvais voir quelques gouttes claires s’écouler d’entre ses lèvres. En m’approchant, je les ai léchées avec ma langue, savourant son goût. Chaque contact que je posais sur elle entraînait un gémissement. Elle avait maintenant Pascal dans sa bouche, ses lèvres se refermant étroitement autour de sa queue, sa main le branlant dans sa bouche.
Je léchais son clito maintenant, avec ma langue je n’avais aucun mal à trouver le bon endroit. J’alternais entre lécher ses lèvres, lécher son clito et le sucer doucement. Ses gémissements se sont intensifiés, elle a fait une pause en donnant la tête à Pascal et a dit : ” n’arrête pas, c’est tellement bon, n’ose pas t’arrêter ” avant de recommencer à le sucer.
Je n’avais pas l’intention d’arrêter, mais j’aimais jouer. J’ai donc poussé ses jambes vers le haut, lui ouvrant complètement l’accès. Ma langue a exploré tous les endroits que je pouvais trouver. Chaque millimètre autour de son clito, l’intérieur et l’extérieur de ses lèvres, tout autour des bords de son ouverture, au fond, ce point sensible entre sa chatte et son trou du cul.
J’avais l’impression de la rendre folle. Si on ajoute à cela le fait qu’elle prenait son pied en donnant la tête à Pascal, elle était sur le point de jouir pour la deuxième fois ce soir. J’avais mes lèvres serrées sur sa chatte, quand j’ai entendu Pascal gémir qu’il était sur le point de venir.
Cela a augmenté le bruit qu’elle faisait, et j’ai eu du mal à garder ses hanches stables et ma langue au bon endroit. Presque au même moment où Pascal a joui, j’ai entendu et senti Lucie jouir aussi.
Avec mes lèvres autour d’elle, je pouvais sentir qu’elle devenait de plus en plus humide et qu’elle venait dans ma bouche. Pascal s’est éloigné un peu, épuisé. Lucie respirait rapidement. Je suis passé entre ses jambes, j’ai pris ses mains, je les ai passées par-dessus sa tête et je les ai pressées contre le lit. J’étais chaud et j’avais besoin de jouir.
Lucie avait complètement remonté ses jambes, elle me sentait pousser contre son corps humide. Elle parlait mal maintenant, vraiment mal, me demandant de la prendre. D’un seul mouvement souple, je l’ai pénétrée, aussi profondément que possible. Avec chaque poussée, Lucie a crié. Elle voulait que je la baise plus fort.
Comme je le faisais, j’ai senti la main entre nous, se déplaçant vers son clito. Dès qu’il l’a touché, j’ai senti qu’elle se contractait autour de moi, m’attirant à l’intérieur. C’était suffisant pour moi, je sentais qu’il n’y avait pas d’arrêt, j’allais jouir. Comme je voulais sortir d’elle, elle a mis ses jambes autour de moi et m’a dit de venir en elle.
Cela m’a vraiment fait bondir, je suis venu et venu en elle. C’était incroyable. J’ai roulé sur elle, épuisé. Elle a pris l’oreiller et l’a mis sous ses fesses. Puis elle a demandé à Pascal de la lécher. Il était hésitant au début, mais elle a continué à lui parler, lui disant qu’il avait voulu faire un plan à trois et que cela faisait partie du marché.
En les regardant, je voyais que le discours de Lucie excitait Pascal à nouveau. Elle disait des choses comme “tu peux le goûter ?”, “tu peux voir comment il a joui en moi ?” Ce genre de conversation m’excitait à nouveau !
Je me suis mis à genoux et me suis penché pour l’embrasser. Nous nous sommes embrassés doucement, j’étais totalement détendu et je pouvais pour la première fois vraiment en profiter. Pas de tension, pas de nerfs. Lucie gémissait dans ma bouche à présent, j’ai baissé les yeux et j’ai vu Pascal assis entre ses jambes, sa bite entrant en elle à un rythme régulier. J’ai senti sa main me prendre et commencer à me branler. Je me suis assis et je me suis rapproché pour pouvoir sentir ses lèvres autour de la tête de ma bite.
Elle savait exactement où bouger le bout de sa langue, où exercer une pression et où aller en douceur. C’était tellement chaud de me voir entrer et sortir de sa bouche. En regardant Pascal la baiser, je me suis penché un peu vers lui et j’ai laissé ma main se glisser entre eux, touchant d’abord son clito, puis ses lèvres. Elle gémissait à nouveau, je pouvais le sentir comme un courant électrique du bout de ma bite jusqu’à ma colonne vertébrale.
Puis, juste au moment où elle suçait le dessous, j’ai joui sans crier gare. Sur ses joues et sur les draps du lit. J’ai reculé un peu et puis elles ont joui. On était tous assez épuisés, et c’est là qu’on s’est endormis. Cela semble être une bonne fin pour le moment… Le reste de l’histoire est pour plus tard.